Miharu Ookami Oguri. Werewolf of the Abyss in my Head.

IDENTITY.
« abyssal werewolf »



MIHARU OOKAMI OGURI.

« Promenons-nous, dans les bois… Pendant que le loup n’y est pas… Si le loup y était, il nous mangerait… »

NOM COMPLET :
Miharu Ookami Oguri.

NOM :
Oguri.

PRÉNOM :
Miharu.

SURNOM :
Haru.

ÂGE :
16 ans.

DATE DE NAISSANCE :
31 octobre 1991.

SIGNE ASTROLOGIQUE :
Scorpion.

SEXE :
Féminin.

ORIENTATION SEXUELLE :
Hétérosexuelle.

GROUPE SANGUIN :
A+

GROUPE :
--

FONCTION :
Méchante louve. Loup-garou errant.

NIVEAU EN MAGIE :
Miharu est une lycanthrope, une créature mi-humaine, mi-louve… Ou en d’autres mots, un loup-garou. Elle contrôle bien la magie du feu, mais ça ne reste que de la magie de base. Elle a du potentiel, c’est bien vrai. Elle n’a tout simplement pas réellement eu l’occasion de se mettre en pratique.

ÉLÉMENT DE PRÉDILECTION :
Feu.

RÉSISTANCE MAGIQUE :
80/-100/0/80/0/80/0/0/0/-100

ARME(S) :
Ses griffes, ses crocs.

FAMILLE :
Défunte.

AMOUREUX(SE) DE :
Personne.

AMI(E)S :
Aucun.

LIKE & DISLIKE.
Gimme a break.

La lune |S*B| Les chats.
La chair fraîche |S*B| La pluie.
La nourriture épicée |S*B| Les mauvaises odeurs.
La musique |S*B| Le poisson.
Le feu |S*B| Le café.
Le sang |S*B| Le tabac.
Les élèves bien dodus (les plus savoureux) |S*B| Les boissons gazeuses.
Les sources chaudes |S*B| La musique country.
Le calme et le silence |S*B| La science.
L’encre noire |S*B| Les pervers.
Le sake |S*B| Les agrumes.

PHYSICAL CHARACTERISTICS.
One girl, three different faces.

Version humaine – Dokuro Chrome : la plupart des gens s’entendent pour dire que sous cette forme, Miharu est très mignonne. Seulement, on se demande facilement si elle est vraiment d’origine japonaise, puisqu’elle a des traits physiques plutôt particuliers pour quelqu’un qui n’est pas d’origine étrangère. La première chose que l'on voit chez elle, ce sont ses cheveux bleus coupés courts. Ensuite vient sa taille, un tout petit mètre et cinquante-deux centimètres très exactement. Haru a un magnifique visage, avec un teint lumineux et des traits délicats. Elle a un regard profond couleur noisette, tantôt clair, tantôt plus foncé. Cependant, elle est complètement aveugle de l’œil droit et sa vue est plutôt floue du côté de l’œil gauche. Elle est très légère, elle pèse un trente-six kilogrammes tout juste. Ce poids plume, elle le doit à son régime de cannibale. Elle n’a pas l’occasion de mettre la main sur de la viande humaine fraîche tous les jours. Malgré sa taille, sa silhouette est élancée et proportionnée aux bons endroits. Ce qui étonne le plus, c’est que sous ce corps frêle ne se cache pas une damoiselle sans défenses, bien au contraire.

Côté vestimentaire, Miha adopte un style très orignal, un mélange de gothique lolita et punk. Elle ne porte pratiquement que du noir, avec quelques couleurs de temps à autre, telles que le rouge, le blanc, le violet et le rose pâle. Elle ne se gène pas pour montrer sa peau, soit-dit en passant, qui est très pâle, tant que ses cicatrices peuvent passer pour des blessures normales, car oui, elle a en a tellement qu’elle ne les compte plus.



Version mi-transformée – Amaterasu (version humaine) : lorsque Miharu est transformée à moitié, elle ne se ressemble plus du tout. Sa peau pâlie terriblement, et ses cheveux poussent jusqu’en bas de sa taille et ondulent, tout en blanchissant. Ses yeux deviennent noirs comme l’encre, et inexpressifs. Des signes tribaux rouges se dessinent à certains endroits sur son corps, tels que sur chacune de ses épaules et sur sa tête, par-dessus ses cheveux. Il y a aussi deux points noirs qui se dessinent au dessus de ses sourcils, et deux rayures rouges sous ses yeux, au niveau des pommettes. Ses oreilles deviennent comme celle des loups, pointues et sur le dessus de sa tête, et une queue de loup touffue pousse au niveau de son fessier. Elles sont de la même couleur que ces cheveux : blanches comme la neige immaculée. Haru peut prendre cette forme lorsqu’elle en a envie.

Version loup-garou - Amaterasu (version louve) : sous cette forme, Haru n’a plus rien d’humain. Il s’agit du résultat total de sa transformation de lycanthrope, qui arrive seulement les soirs de pleine lune. Elle est alors sous forme de louve, mais plutôt unique en son genre. Son pelage est d’un blanc crémeux, doux comme du coton, parsemé de signes tribaux rouges et ondulé par endroits. Elle a de bien belle pattes qui on l’air délicates à première vue, mais en fait elles sont puissantes et à leurs bouts se trouvent des griffes acérées. Dans sa gueule, elle a une dentition effrayante, avec des crocs bien aiguisés et scintillants. Le bout de sa queue est noir comme l’ébène et duveteux. Sur son dos, elle a une sorte d’anneau de défense vert fait à partir de son propre mana. Elle ne l’a pas tout le temps, elle ne s’en sert que lorsqu’elle utilise sa magie. Lorsque c’est le cas, l’anneau est encerclé d’une grande quantité de feu flamboyant. Ça l’aide à canaliser sa magie, parce qu’elle n’a pas totalement le contrôle d’elle-même lorsqu’elle est sous cette forme.

PHILOSOPHICAL PROPRIETY.
How I am inside.

Malgré les apparences, Haru est comme une arme à double tranchant. Elle est horriblement sadique et rancunière et pourrait poursuivre quelqu'un jusqu'au bout du monde rien que pour se venger. Elle est susceptible, mais n'accepte aucun compliment non plus. Elle a l'impression qu'on lui ment... Et elle déteste ça. Elle soigne son apparence que pour elle, et pour personne d'autre. Elle fait ça pour essayer de se sentir mieux dans sa peau, car elle a l'impression d'être un monstre. Pour couronner le tout, elle est très orgueilleuse.

Cependant, malgré ce caractère de cochon, Miharu est très souriante. Son sourire est très rarement sincère, mais elle cache bien son jeu. Elle a grandit en cachant sa souffrance derrière un sourire. En tout cas, rares sont les personnes qui la verront sous son vrai jour. Elle évite normalement de se lier aux autres, de peur d'être blessée ou encore de tuer sans le vouloir. Elle est impitoyable sous sa forme de loup-garou, elle pourrait tuer son meilleur ami sans s'en rendre compte. Malheureusement, il est difficile de se lier à Haru d’une quelconque façon. Elle très distante, et ne parle jamais d’elle-même. En tout cas, elle serait prête à mourir pour protéger les personnes qu'elle aime.

Enfin bon, elle garde malgré tout un caractère plutôt enfantin. Si elle se fait mal, elle n’hésitera pas à lâcher un petit « ouille » geignard. Miharu adore rire en général, mais elle a un sens de l’humour très peu développé. Rare sont les choses qu’elle trouve drôles...

Haru est une fille très franche, voir même trop directe. Elle n’hésite pas à dire la vérité, même si c’est franchement blessant. Elle est en tout simplement rien à faire, le monde l’a tellement fait souffert qu’elle doit bien lui rendre la monnaie de sa pièce en étant méchante avec les autres et en mangeant un enfant par-ci, par-là.

HARAGASUKU.
« Le début de la faim. »

Lorsqu’elle était encore bien jeune, la petite Miharu vivait en campagne, avec ses parents. Ces derniers étaient très sévères, jamais elle n’avait le droit de faire ce qu’elle voulait. Malheureusement, elle était bien curieuse pour son âge, et elle était encore bien naïve à l’époque. Et la campagne… Ont en voyait pas la fin, avec ses énormes rizières à perte de vue… On a toujours envie de découvrir de nouvelles choses à cet âge-là. Non-loin de chez-elle, il y avait une forêt immense, qui l'intriguait énormément. Ses parents lui interdisaient, bien évidement, d’y mettre les pieds, mais elle insistait toujours plus... Mais elle n’avait pas le choix, alors elle se contentait de l’observer de loin. À chaque année, au mois d’avril, les cerisiers fleurissaient, rendant la forêt toujours plus attirante. Et en plus, elle dégageait une odeur tellement agréable, que le vent transportait avec lui avec quelques pétales roses, parfois même blancs. Ces couleurs pastel ressortaient bien au travers des cèdres de la forêt.

Haru n’était pas plus capable de résister à la tentation. La curiosité est un bien vilain défaut, et elle l’a appris à ces dépends, malheureusement. Elle finit par s’y rendre en douce, lorsque ses parents préparaient des sashimis et des boulettes de riz pour le repas. Elle marcha bien longtemps, rien que pour s’y rendre. Ses petits pieds d’enfant faible lui faisaient un mal de chien, mais elle se disait que ça en valait la peine. Une fois sur place, elle était tellement heureuse qu’elle entra dans la forêt sans penser aux conséquences que ça pourrait engendrer. Cela faisait maintenant plus d’une heure que la petite avait disparue de la maison, et ses parents venaient à peine de remarquer son absence. Tout deux la cherchait désespérément, et si l’enfant avait prêté attention à ce qu’elle entendait, elle aurait pu les entendre crier son nom, la voix entrecoupée de sanglots. Haru, de son côté, se baladait dans la forêt et prenait le temps d'observer chaque chose, émerveillée par ce qui l’entourait. Elle explora ainsi la forêt pendant plusieurs heures, si bien qu'elle finit par se perdre. Elle ne s'en inquiéta pas pour autant. Ses parents finiraient par la retrouver... En fait, ceux-ci étaient déjà dans la forêt depuis plusieurs minutes déjà, à la recherche de leur fille. Ils étaient rongés d'inquiétude, ils avaient si peur pour elle ! Il y a tant d’animaux sauvages dans la forêt… Ils n’ont pas envie de la retrouver morte, à moitié mangée par un ours. Rien que penser à ça les rendait complètement fous. La nuit commençait lentement à gagner le ciel, donc Miharu décida de se reposer un peu, en s’installant sur un rocher. Ses pieds nus étaient couverts de cloches et lui faisaient un mal de chien. Elle leva ses yeux au ciel, apercevant la pleine lune qui brillait timidement derrière d’épais nuages, ces faibles rayons caressant faiblement le sol. Après quelques minutes, elle entendit un craquement rompre le silence, derrière elle. Elle se retourna avec un grand sourire, dans l'espoir de voir ses parents, mais elle ne put qu'entrevoir une horrible créature, avec des yeux injectés de sang. Un loup-garou... Avant même qu'elle est put crier, la créature lui sauta dessus et l'attaqua, lui laissant une profonde morsure dans le cou. Le monstre disparu aussitôt, poussant un hurlement semblable à celui d'un loup. Tout devint horriblement froid et noir, tout à coup. Elle sentait le goût métallique du sang dans sa bouche… Puis plus rien.

Lorsqu’elle ouvrit enfin les yeux, elle se sentait complètement perdue. Elle se rappelait peu à peu ce qui s’était passé. De la forêt, de la pleine lune dans le ciel, de la créature qui l’avait attaquée. Où était-elle ? Combien de temps s’était écoulé depuis cette nuit-là ? Est-ce que ça c’était bel et bien produit, où n’était-ce qu’un rêve ? Va savoir. Trois paires de yeux étaient penchées au dessus d'elle. Deux appartenaient à ses parents, mais la troisième lui était encore inconnue. Elle percevait des voix, mais ce qu'elle entendait n'était pas très clair. De ce qu'elle arrivait à attendre, elle put deviner que l'inconnu était un médecin. Haru se sentait horriblement faible, et sa tête tournait. Après quelques minutes, elle finit par tomber dans un profond coma.

Les choses se bousculèrent ensuite. Malgré le fait qu'elle était dans les pommes, elle sentait son esprit changer. C’était atroce, c’était comme si quelqu’un essayait de s’installer dans sa tête. Elle avait horriblement faim, elle avait une envie incroyable de manger de la viande… Humaine. Elle se réveilla un soir de pleine lune, comme si de rien n’était... Elle se trouvait dans une pièce aux murs blancs, et elle entendait un « bip… bip » constant. Elle était à l’hôpital ? Probablement. Son regard était vide, et une seule chose lui venait à l’esprit. Elle le dit tout haut, sans s’en rendre compte. D’une voix faible, à la limite un peu effrayante.

« J’ai… faim »

Elle entendu alors des chaises se bousculer de l’autre côté du mur. Puis des pas pressés. La porte s’ouvrit brusquement, et ses parents entrèrent aussitôt dans la pièce. Ils étaient tellement contents de la voir revenir à eux ! Sa mère pleurait et la prennait dans ses bras et son père semblait être le seul à se rendre compte que sa fille n’était pas tout à fait normale. Le regard de Miharu était vide, inexpressif. Elle regardait par la fenêtre entrouverte, par-dessus l’épaule de sa mère. Une légère brise relevait les fins rideaux blancs de la chambre de l’hôpital, et on pouvait apercevoir la pleine lune, scintillant froidement dans le ciel. Un sourire sadique se dessina alors sur son visage, toujours autant dépourvu d’émotions.

« J’ai faim… Je peux vous manger ? »

Elle s’était tournée vers son père en disant cela, elle avait la tête légèrement penchée sur le côté, avec le même sourire de sadique sur le visage. Sa mère relâcha son étreinte, elle la regardait, consternée. Elle ne la prenait pas au sérieux, ça se voyait.

« Mais qu’est-ce que tu racontes, Haru… Arrête de dire des bêtises. »

Miharu plongea son regard dans celui de sa mère et son sourire s’effaça… Elle se mit alors à rire froidement, puis c’est à ce moment là que ça arriva… Sa première transformation en loup-garou. La transformation fut quasi-immédiate. Le loup-garou de la forêt avait décidé de faire d'elle une des leurs... Et elle allait enfin pouvoir goûter à son premier repas. Elle l’avait attendu inconsciemment pendant tellement longtemps, lorsqu’elle était dans le coma. La soif de chair l'emporta, et Miharu sauta sans pitié sur ses parents terrorisés pour les dévorer. Elle avait alors 11 ans, à ce moment-là...

YAJUU.
« Animal en captivité. »

Depuis cet incident, le petit monde des humains était tout chamboulé. Les journaux ne parlaient que de ça, mais le gouvernement japonais faisait de son possible pour que cette histoire ne s’étende au-delà de leurs frontières. La pauvre Miharu était devenue le sujet de recherche numéro un pour tous les fous de la science, de la zoologie et du surnaturels. Même le monde magique s’intéressait à elle, car bon nombre de Magister savent à quel point les lycanthropes sont difficiles à capturer… Ils se déplacent toujours seuls, et n’apparaissent que les soirs de pleine lune. Bref, elle en voyait de toutes les couleurs… Haru fut l'objet de tests horribles et d’expérience atroces, celles qu’on n’oserait même pas faire à un verre de terre tellement c’est cruel. Les gens convoitaient ses sens de loup-garou : son odorat, sa vue, son ouie... TOUT ! Ses capacités de régénération physique aussi les fascinaient… Si tôt blessée, si tôt guérie. Ils lui firent subir de multiples blessures pour connaître ses limites. Miharu garda plusieurs séquelles de cette période de sa vie, dont de nombreuses cicatrices à peu près partout sur son corps et sa vue de taupe. Cependant, ces autres sens sont restés intactes.

Heureusement pour elle, elle finit par s'échapper. Sa tête fut mise à prix, mais les seules photos qui avaient été prisent d'elle étaient lorsqu’elle était transformée, ou bien lorsqu’elle était encore toute jeune. Elle a vieillit, elle a beaucoup changé. Miharu Ookami Oguri a maintenant 16 ans. Cela fait à peine deux ans qu'elle est recherchée. Elle est plutôt connue dans le monde magique, mais la plupart des Magister se fichent pas mal d'elle alors ils ne la dénoncent pas. Ce n’est pas comme si une lycanthrope était rare, dans cette partie du monde dont les simples mortels ignorent l’existence. En tout cas, si quelqu'un tentait de la capturer, de la dénoncer ou encore de la ramener au labo, elle le massacre sans gène et sans laisser de trace. Elle déteste être violente sans raison mais si elle se sent menacée, elle ne se gênera pas pour autant !

Présentation terminée, j'avais envie de refaire ma fiche partout... ô_o